Le court métrage est voulu :

 

-          80% en tournage réel.     

 

-         Le terroriste/MoWaB intégralement en CG durant le court.     

 

-         Recours à du maquillage prostétique pour l’apparance finale du visage de Rose.        

 

 -         attachement particulier aux «textures» de l’environnement, aux sensations, aux petits détails de mise en scène: des gouttes dans un cathéter, des mains vieillies contre une peau douce, le frottement du métal, le poids de l’air d’une pièce.

 

-         jusqu’à l’acte final, il jouera sur un montage en parallèle des séquences, voir des scènes. Tout l’exercice est d’imposer ici une fausse temporalité, pour protéger le Twist final sur l’identité et les intentions des protagonistes.

 

 

Car le but ultime de ce court est de prendre à revers le spectateur en lui dévoilant seulement à la fin qu’il ne suivait pas trois histoires, mais une seule. Celle de Rose et Milia, celle du Terroriste et de Kraft, celle du monde.

 

 

D’où l’importance primordiale du montage en parallèle, pour resserer tout à la fin les liens de l’intrigue et surprendre ainsi le spectateur.